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Avertissement :
Lire cet article peut provoquer des frissons, des coups de colère et des éclats de rire. Vous voilà prévenu(e)s. hitoyume bien que responsable de tout ça, ne pourra pas être considéré comme coupable.

LA VIE DES ENTREPRISES : la marque Charal est bien connue pour vendre aux rayons frais et surgelés de la viande de quadrupède qui avant de finir emballée en rayon avait de doux yeux mélancoliques. Afin de diversifier ses activité et de faire face à la baisse régulière de la consommation de protéines carnées, Charal vient de décider d'ouvrir des magasins d'optique dans tout le pays. Les affiches de la campagne "Bien vu, Charal ! (Publicis-Euro RSGG) devront toutefois attendre avant d'être placardées que le bureau d'études du groupe françoais ait amélioré la qualité de ses verres afin de répondre aux normes CE.

LES DISPARUS DE L'ENLEVEMENT : début mars, la rumeur, relayée par les réseaux sociaux, commença à enfler à Roygerolle avant de s'étendre aux communes avoisinantes : des Roms à bord d'une camionnette blanche enlèveraient des enfants. Aussitôt, plusieurs groupes de parents décidèrent de consacrer leurs nuits à la recherche du véhicule. Durant plusieurs semaines, une cinquantaine de patrouilles de volontaires traquèrent les ravisseurs sans parvenir à localiser le véhicule (un Peugeot Partner à double ouverture latérale immatriculé dans l'Oise). Il fallut un communiqué du maire et de la préfecture de police et plusieurs réunions publiques pour que cette fausse  information s'éteigne et que les parents renoncent enfin, le coeur brisé, à l'espoir de se débarrasser de leurs enfants les plus cons.

LES DESSOUS D'UNE NEVROSE : selon une étude récente du Kentucky Fried Chicken Institute of Technology, chaque année, des millions de sous-vêtements masculins trop petits et trop serrés sont achetés au détriment du confort de leurs utilisateurs. Afin d'expliquer cet étrange phénomène, l'équipe du docteur Gloussia qui dirige l'unité "Psychiatrie et linge de corps" au sein de l'hôpital Jean-Pierre Hugot de Béziers, a rencontré une centaine de ces sujets masculins qui achètent régulièrement des slips trop petits. Au terme de plusieurs années d'entretiens, le psychiatre est parvenu à isoler une affection mentale pas encore reconnue par l'OMS : le déni de gros sexe.